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Pastel - Poetry - Photography

Vertige singulier


Quand comprendras-tu ?

Que tout n’est que mirage

Des allées boisées et immenses paysages

Du teint hâlé et senteurs sauvages

Quand toucheras-tu ?

Les mains pleines du présent

Oublier le « si » et rêves latents

Créer enfin du possible au temps

Quand sentiras-tu ?

Que tu as le parfum de tes peurs

L’envie n’est pas un sacrifice du cœur

Mais le début de matins enchanteurs

Quand verras-tu ?

L’éclat de mon visage qui fleuri

Azur miroir du ciel en symphonie

Pourpre songe de l’envie

Quand entendras-tu ?

Le battement du corps en apesanteur

Dans le fragile et lumière bonheur

Résonne la mesure en couleur

Quand goûteras-tu ?

Aux fruits mûrs de la sagesse

Croquer la chaire des corps paresse

Merveilles des vies en promesse





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